Maoist Internationalist Movement

La Dualité des Nations: Saisisez l'Initiative  Revolutionnaire

November 1993

by MC12

Depuis que le MIM a developpé son analyse de la classe travailleure blanche comme une non-révolutionnaire élite -- une aristocratie du travail -- conséquente aux travaux du  J. Sakai en Settlers: The Mythology of the White Proletariat, le MIM s'agit pour mettre en pratique son analyse de la contradiction entre l'impérialime et les nations opprimés comme une principe pour les révolutionnaires sur une échelle mondiale là où l'impérialisme règne. Cela s'avancait avec la publication du  MIM Theory 1: "A White Proletariat?" Avec les dévoloppements qui s'enchaînait depuis par son analyse paralèlle de l'opprime des sexes en  MIM Theory 2/3, le développement de ce praxis a trouvait son point ultime présent.

Ces essaies théoriques se sont centrés autour du nationalisme révolutionnaire lui même -- en faisant l'analys de son pôle opposé: l'alliance réactionnaire entre l'aristocratie du travail  et avec la bourgeoisie impérialiste sur l'une côté, et sur l'autre l'alliance sexuée entre le pseudo-féminisme du premièr monde et la patriarchie. Le MIM a exposé ces deux alliances comme étant à la fois des faits objectifs de classe et des opinions subjectives des individus. Ils sont des alliances politiques (subjectives) fondées sur la réalité matérielle (objectif) de la vie en Amerike. La conclusion sous-jacentes: ces deux alliances doivent être réjettés et combattés afin de faire une alliance communiste/nationaliste-révolutionnaire dirigé par une partie d'avant garde marxiste-léniniste-maoiste. Le MIM n'a pas pour autant faisait une analyse en profondeur de comment faire former les cadrés nécessaires parmi les nations opprimés eux mêmes -- bien qu'il a construit la squellette de cette analyse dans son superficie.

Au fur et au mésure que la base sociale du MIM s'aggrandit, ce qui va faire le reflét des finalités binaires de unifier les nations opprimés sous le marxisme-léninisme-maoisme et d'attirer autant des personnes au MIM malgré leur origine dans la nation opprimeur, le besoin d'approfondir cette analyse s'augmentera. Ce projet va suivre l'expansion de la pratique parmi les nations opprimés et aussi va faire une révision compréhensive des mouvements qui existent encore ou qui ont existé pqrmi les mouvements nationalistes révolutionnaires et les fondements matériels et théoriques de les deux.

"Lorsque l'impérialisme se lance dans une guerre d'aggression contre un pays, tous ces classes diverses, à part certains traîtres, vont pouvoir témporellement s'unifier dans une guerre nationaliste contre l'impérialisme. Dans telles conditions, la contradiction entre l'impérialisme et le pays aggressé devient la contradiction principale,  pendant que tous les autres contradictions parmis les classes diverses  du pays... sont témporairement rendues sécondaires ou sub-ordonnées."(1) [Rétraduit de l'anglaise: voici cette article en anglais avec la citation également en anglais]

La nation, comme formation sociale et historique, a une existence dualiste comme réalité subjective et objective. Il n'est ni permanante ni sans changement; son existence dans la société humain et ses manifestations spécifiques sont également assujetis aux lois du développement matériel. La nation s'augment et se diminue, se naît et se meurt suivant les mouvements des forces intérieur à lui même et aussi extérieur à lui. Les nations ne sont pas seulement le produit des lignes sur un plan, les frontières étatiques, non plus sont ils le produits de leur statut juridique seul. Non tous les nations se sont devenus des Etats-Nations, et tout Etat ne se construit autour d'une seule nation, ou autour de toute une nation.

Les nations sont des phénomènes de la société de la classe. Les contradictions du classe et sexe ont existé avant que la nation. Les contradictions du classe et du sexe déterminent les contradictions dans une nations dans le même facon qu'ils sont sous-jacentes et déterminent les contradictions du capitalisme. La libération nationale change les conditions sous lesquelles les luttes de classe et du sexe se passent; Mais la libération nationale seule ne peut pas lui même réssouder les contradictions du classe et du sexe.

Les théoriciens des nations-opprimeurs et leur entourage ont largement ignoré les théories Marxistes des nations (les structures objectives) et le nationalisme (les projets politiques). Ils se sont contentés avec la conclusion superficielle que le Marxisme n'a pas tout simplement se concernait avec la question de la nation avec de la réussite. Une telle position -- malgré son caractère généralement répandu dans le discours dominant -- ne peut jamais s'avancer sérieusement affèrant au tiers monde. Là le marxisme a produit la seule synthèse de la question qui peut s'unifier avec la pédagogie du matérialisme dialectique: une synthèse de la théorie révolutionnaire avec praxis -- la pratique de la révolution.

Les intellos de la pensée dominante peut être ont de la raison là qu'ils disent que Marx lui même n'a jamais "résolu" la question nationale. Mais le marxisme, la théorie politique du politique fondée sur et developpé par le praxis a examiné et developpé plusieurs méthodes d'analyser la question nationale et de synthétiser des réponses. Par ce processus se produisait les mouvements révolutionnaires le plus significatifs dans le XXème siècle: les révolutions la plus importantes depuis la naissance du marx, en fait [se sont des révolutions nationale-communiste]. En dépit de cela, les intellos du premier monde vont vilifier l'héritage du Stalin et Mao sur la question nationale, et cela autant qu'il existe un premier monde pour produire des intellectuelles.

La Nation et les idéologies nationales ont une charactère binaire, dans lequel subsiste des charactérisitiques opposé qui sont contradictoires. Autant qu'il existe des nations dominantes et subordonnées, vont exister aussi des forces du progrés et de la réaction dans le nationalisme. Dans les nations subordonnées, le charactère révolutionnaire (libératrice) du nationalisme domine; mais dans les nations dominantes le charactère réactionnaire (exclusive) domine. L'erreur de méconnaître ce fait: le dualisme des nations -- mène inévitablement à une incapacité à comprendre la rôle variable joué par le nationalisme dans la histoire et les impératifs politiques qui sont conséquentes de ces mouvements.
 

Chaque nation a un commencement et un fin, autant que l'existence du phénomène même. Cette propostion n'est pas nouvelle; plutôt c'est une application et developpemt de la théorie des nations commencé par Staline, qui avec les bolchéviques avancait la première théorie et pratique révolutionnaire sur la question nationale dans l'ère impérialiste. La conséquence de cet effort était la première révolution socialiste dans la histoire; que cettte conséquence étaient pour autant imparfait est un témoignage de la rélation dialectique entre la théorie et la pratique -- autrement dit par le proverbe du Mao "les erreurs sont des lecons", ou plus exactement:

"La théorie dialectique-matérialiste de la connaissance mets la pratique au première place, et tient que la connaissance humaine ne peut nullement se séparé de la pratique et rejet toutes les théories erronnées qui nient la primauté de la pratique ou qui font une séparation entre la pratique et la connaissance."(2)

Dans l'ère impérialiste, le charactère dualiste des nations est ainsi: la contradiction principale dans le monde est entre l'impérialisme et les nations opprimés. Cette contradiction contient plusieurs d'autres: parmi eux, principalement, figurent les contradictions du classe et du sexe. Ainsi les contradictions du classe et du sexe déterminent les contradictions en impérialisme. Par la lutte pour la libération nationale, les intérêts du classe et sexe se sont unifiés par une opposition au impérialisme et l'opprime nationale, ainsi créant des conditions pour la déstruction ultime de l'opprime du classe et sexe aussi.

En  "L’impérialisme, le socialisme et la libération des nations opprimées", Lenin arguementait que le droit d'autodétermination étaient "entièrement et exclusivement" dans la sphère de la politique démocratique.(3) Mais au 1920 il distinguait entre la lutte "bourgeoise démocratique" et "nationaliste révolutionnaire" dans les luttes nationales. Ce changement etait une conséquence des luttes politiques autour des formes réformistes et révolutionnaires de la démocratie sociale. La conclusion était "l'idée principale" sous son position nouvelle "la distinction entre les nations opprimeurs et opprimantes." (4) Et il était une idée rendu possible dans les yeux bolchéviques par la réalité de la révolution socialiste dans la russie -- sans une stade du capitalisme developpé -- et l'anticipation d'une alliance dans l'avenir entre les nations qui luttait pour leur libération et la dictature du prolétariat en Russie. Lénine disait:

"Dans le même facon que l'humanité puisse arriver à l'abolition des classes par une dictature temporaire du prolétariat de la classe opprimé, il ne peut arriver à l'intégration inévitable des nations que par une temps impermanant de la libération totale de toute nation opprimé, i.e. par le droit de l'autodétermination."(5)

Réconnaitre les conditions sous lesquelles la contradiction nationale soit principale est la conséquence d'une pratique politique et une analyse historique qui réconnaitre que les classes et sexes dans les nations opprimeurs et opprimés ont construit des alliances stratégiques de nation pour les intérêts de classe et genre. Les luttes de la libération nationale se sont impulsés par ces forces. Dans les nations opprimés, ces alliances ont conduit aux luttes révolutionnaires qui se montraite la ménace principale à l'existence du système impérialiste. Ceci est le chemin objectif de l'histoire humaine dans l'ère impérialiste; il n'est pas simplement le choix politique des nationalistes ambitieuses qui cherchent à imposer "leur cause" sur la lutte de classe et genre.

Le nationalisme est la théorie politique et la pratique de la nation, et son charactère dualiste est une reflection du mouvement des contradictions entre l'impérialisme et les nations opprimés dans une échelle mondiale. Dans les nations impérialistes dominantes, le charactère réactionnaire est principale, et incite la lutte pour la libération par la révolution nationale. Juan Gomez-Quinones dit que Lénine visait deux direction dans le mouvement de l'impérialisme. Dans l'immédiate, l'opprime impérialiste des nations était une force pour les galvaniser dans des mouvements de la résistance nationale; mais en même temps la dominance mondiale du capital aussi forcait l'intégration des nations.

"Comme conséquence de ces deux aspects, il existe une augmentation du nationalisme, à la fois pour les opprimeurs et les opprimés. Ainsi il existe une dialectique entre le nationalisme bourgeoise de l'opprimeur et le nationalisme du masse opprimé. Par conséquent l'impérialisme est marqué comme ère d'une augmentation de la conscience nationale des masses."
(6)

Le peuple des nations dominantes construisent des alliances du genre et de classe qui utilisent le nationalisme pour avancer leurs intérêts de classe et genre dans les nations dominantes -- sur le dos du peuple dans les nations opprimés. Ces alliances stratégiques sont généralement dualistes: une alliance de l'aristocratie du travail et la bourgeoisie impérialiste, et l'alliance entre les hommes et femmes dans les nations domantes. Le peuple des nations sub-ordonnées, sur l'autre côté, construisent des alliances de la classe et genre qui servient d'avancer les intérêts de leurs nations et d'attaquer les fondements de l'impérialisme. Leur lutte est la lutte révolutionnaire et nationaliste et comprisent une alliance entre les femmes avec les hommes du gauche du chaque niveau de classe dans la nation subordonnée. Dans les nations dominées, la bourgeoisie généralement  dirige l'alliance des classes et la patriarchie dirige l'alliance nationale du sexe. Dans les nations opprimés le niveau de la direction gagné par le prolétariat (ou son idéologie) est l'alliance nationale de classe et le niveau de la direction gagné par le féminisme dans l'alliance nationale des sexes détermine les possibilités pour de la révolution  nationale libératrice. Les luttes du classe et du genre ainsi poussent les luttes de la libération nationale: les contradictions du classe et du genre entre l'impérialisme et les nations opprimés ont de la priorité sur les contradictions internes (et les contradictions internes donnent de l'energie pour le mouvement in toto).

Plutôt que simplement une attaque égoiste et opportuniste, la participation des communistes chinoises dans la guerre nationale contre le japon était explicitement internationaliste dans son vision, comme Mao l'exprimé:

"[S]eulement par la lutte en défence de la patrie pouvions nous battre les aggresseurs et trouver la libération nationale. Et seulement par la libération nationale serait il possible pour le prolétariat et les autre travailleurs de trouver leur propre libération. La victoire de la Chine et le défaite des impérialistes invahisseurs va aider le peuple dans les autres pays. Ainsi dans les guerres de la libération nationale, le patriotisme est une application de l'internationalisme."(7)

Engels disait sur les ouvrièrs en Ireland et la Pologen en 1882 qu'ils ont "non seulement avait droit mais aussi devrait être nationalistes... ils sont la plus internationalistes exactement quand il sont véritablement nationaliste." Dix ans plus tard, Engels argumentait que les travailleurs Irlandais devraient avoir leur propre organisation, car de les prier de s'adhérer au Conseil Brétagnique Fédérale serait un insulte.(8)

Et Gomez-Quinones:

"Historiquement, quand la classe travailleure est dirigé par des marxistes et la lutte des classes s'unifiait avec la lutte pour la libération nationale on avait des developpements progressifs révolutionnaires. Mais quand ces deux mouvements se divisait ou se sont séparés, les espèrences nationales se sont utilisés par la bourgeoisie et le petit bourgeoisie du droit qui les utilisent pour leur pouvoir et avantage."(9)

Chacune de ces alliances dans les nations --  nation dominante ou nation subordonnée -- est nécessairement aussi contradictoire et souvent imparfaite, mais en gros leur caractère est d'une subordination de la contradiction et une alliance stratégique. Aux temps diverses, leurs contradictions intérieures devient antagonistes, et cela mène aux opportunités pour les nations en opposition de fair des gains. La division des nations opprimeurs est un developpement révolutionnaire, pendant que la division des nations opprimés représente une perte pour le peuple dans leur lutte contre l'impérialisme.

Ainsi le MIM a developpé un finalité dualiste, qui comprisent sur une côté de chercher à diviser la nation dominante amerikaine et de gagner d'eux autant des adhérents révolutionnaires que possible -- la plus souvent parmi les étudiants et la jeunesse -- et sur l'autre côté de developper une direction maoiste unifié  afin de servir les nations opprimés qui se trouvent déjà en opposition à l'impérialisme amerikain.

Notes:

1. Mao Zedong, "On Contradiction," Collected Works Vol. 1 Foreign Languages Press: Peking, 1975, p. 331.

2. Mao Zedong, "On Practice," in Selected Readings, Foreign Languages Press: Peking, 1971. p. 67.

3. V.I Lenin, "The Socialist Revolution and the Right of Nations to Self-Determination." January-February 1916. From Selected Works, One Volume Edition. International Publishers: New York, 1971.

4. From the 2nd Congress of the Communist International (1920). In ibid., pp. 602-605. Emphasis added.

5. Lenin, op cit. p. 160.

6. Juan Gomez-Quinones, "Critique on the National Question, Self-Determination and Nationalism." Latin American Perspectives, Spring 1982, Issue 33, Vol. IX, No. 2. p. 70.

7. Mao, Selected Readings, op cit., p. 140.

8. Ian Cummins, Marx, Engels and National Movements. London: 1980. p. 104.

9. Gomez-Quinones, op cit., p. 77.


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