This is an archive of the former website of the Maoist Internationalist Movement, which was run by the now defunct Maoist Internationalist Party - Amerika. The MIM now consists of many independent cells, many of which have their own indendendent organs both online and off. MIM(Prisons) serves these documents as a service to and reference for the anti-imperialist movement worldwide.
Maoist Internationalist Movement
FAQ (Foire aux Questions) du MIM

<<>> <<>> <<>> <<>> <<>>

Mythes sur le maoïsme

publié dans « MIM Notes » 40, le 4 mars, 1990
révisé septembre, 1995, par deux camarades RAIL

révisé et corrigé par MC5, août, 1999, et novembre, 1999

Idées erronées fréquentes

1. Jusqu'à 30 millions de personnes sont mortes pendant le Grand Bond en avant à cause de famine et d'exécutions provoquées par Mao.

2. Il y avait de la violence très répandue commise par Mao pendant la Révolution culturelle.

3. Mao s'opposait aux intellectuels, à l'éducation et à l'individualité.

Le Grand Bond en avant--« Mao était boucher »

Des spécialistes occidentaux ont estimé qu'entre 16,4 millions et 29,5 millions de personnes sont mortes pendant Le Grand Bond en avant. (1) Un argument fréquent affirme que la cause était des exécutions commandées par Mao et le Parti communiste chinois. Ceux qui comprennent un peu plus l'histoire de la Chine connaissent la famine et les catastrophes naturelles pendant cette période. Cependant ils attribuent souvent ces morts de faim aux programmes méchants et à la mauvaise gestion de l'industrialisation et de la distribution des biens.

Le premier problème avec ces mythes, c'est qu'ils sont fondés sur des statistiques inexactes. Les chiffres de mortalité tellement hautes sont dérivées de comparaisons de la population prévue et la population réelle. Cette méthode présume la croissance constante de la population, ce qui est loin de la réalité pendant des périodes tumultueuses de l'histoire telles qu'une révolution. Les statistiques sont aussi dérivées de chiffres fournies par la bourgeoisie et les révisionnistes, des ennemis du Grand Bond.

En réalité, les morts attribuées au Grand Bond en avant (1958-60) étaient dues à la famine, en particulier à la suite du Grand Bond (1960-1), pas aux exécutions. L'inondation et la sécheresse ont eu des répercussions sérieuses sur plus de la moitié de la terre chinoise pendant cette famine-là. L'Union soviétique a retiré son aide industrielle en 1960, provoquant pratiquement une halte à la plupart de l'industrie chinoise. L'Union soviétique avait promis de fournir environ 300 usines industrielles modernes, mais jusqu'à 1960 seulement 154 étaient finies. (2) Des milliers de techniciens soviétiques qui étaient en Chine pour aider le développement industriel sont partis en l'espace d'un mois, enlevant avec lui leurs plans et arrêtant les cargaisons de matériaux. (3)

Mao a tout à fait avoué que le gouvernement était responsable de 800 000 exécutions de 1949 et 1954. C'étaient des exécutions approuvées par la base et faites dans des procès populaires contre les propriétaires et les éléments pro-japonais (pro-impérialistes) les plus détestés qui avaient terrorisé les masses pendant la Seconde Guerre mondiale et à sa suite. (4)

Ni Mao ni le Parti communiste chinois a dit que le Grand Bond en avant n'ait pas eu d'erreurs. L'autocritique est une partie importante du maoïsme, et Mao lui-même a écrit des autocritiques sur certaines pratiques du Grand Bond. À la différence des Soviétiques, les Chinois reconnaissaient que certains de leurs objectifs étaient trop hauts et déraisonnables.

Il n'est pas étonnant que ces mythes soient si activement propagés par les pays capitalistes, qui méritent beaucoup plus l'étiquette « boucher ». Chaque année quatorze millions d'enfants, dont la plupart sont des pays capitalistes d'Asie, meurent de faim. (5) Avec les méthodes des spécialistes et des médias bourgeois, nous pouvons calculer que 75 980 Noirs sont morts aux États-Unis en 1986 à cause de soins médicaux insuffisants. (6) Si les États-Unis étaient si grands que la Chine, cela impliquerait la mort de plus de 300 000 Noirs par an ! (2,5 millions de personnes mortes par an s'il y avait autant de Noirs comme des Chinois.)

Si la Chine, avec un quart de la population mondiale, n'avait pas été libérée par Mao et le Parti communiste chinois, cette situation serait beaucoup pire aujourd'hui. En fait, 22 millions de Chinois sont morts de la faim pendant la Seconde Guerre mondiale, grâce à l'impérialisme japonais et le régime soutenu par les É-U. Sous Mao et le Parti communiste chinois, l'espérance de vie du peuple chinois est doublé de 35 ans sous le régime capitaliste Kuomintang à 69 ans. (7) Par contre, la faim chez les pays capitalistes et le soins médicaux insuffisants pour les Noirs aux État$-Uni$ sont tant ordinaires et tant blanchis qu'aucun politicien ne prend la peine de faire l'autocritique ou de mentionner les problèmes.

La Révolution culturelle--« Mao a commis de la violence »

La Révolution culturelle est autre cible favorie par les impérialistes. L'analyse occidentale attribue fréquemment à Mao toute la violence de la période 1966-76.

Bien qu'il n'y ait eu qu'une poignée d'observateurs occidentaux en Chine pendant la Révolution culturelle, la plupart des observateurs occidentaux attribuent volontiers des centaines de milliers ou des millions de morts à la Révolution culturelle. D'ordinaire il n'y a pas de détails parce qu'il n'y a que très peu de rapports de première main par des Occidentaux. Aucun Occidental ne peut prétendre avoir fait une investigation compréhensive. Quoiqu'il soit possible qu'il y ait eu des millions de morts pendant la Révolution culturelle, elles n'étaient pas commandées par Mao. Mao a commandé explicitement que la Révolution culturelle soit non-violente. Les directives du Comité central du parti communiste ont affirmé que « Quand il y a un débat, il devrait se faire avec la raison, pas avec la coercition ou la force. » (8) De surcroît, la violence pendant la guerre civile était en grande partie la responsabilité de factions opposées à Mao.

Les ennemis de Mao en Chine étaient plus réalistes que les propagandistes occidentaux. Ils ont blâmé Mao et ses partisans, la nommée Bande des Quatre, pour, au total, 34 000 exécutions ou morts causées par d'autres moyens de répression pendant les dix ans de la Révolution culturelle. Si les ennemis de Mao ont raison, est-ce que les 34 000 ont dû être exécutés ? Le MIM ne connaît pas les faits. Personne ne les connaît, sauf les partisans incarcérés de Mao, ses ennemis de haut rang dans le parti et les masses en général, desquelles les opinions n'ont pas été sollicitées systématiquement par des critiques à l'extérieur.

Mao, en faisant autocritique, a affirmé qu'il y avait eu trop d'exécutions pendant la Révolution culturelle. En disant cela, Mao a exprimé sa philosophie, qui est aussi celle du MIM. Selon Mao, il est peut-être justifiable d'exécuter un meurtrier ou quelqu'un qui fait sauter une usine ; cependant, dans la plupart des cas, y inclus tous les cas dans les écoles, le gouvernement et l'armée, Mao croyait : « Qu'est-ce qu'il y a de mal à ne pas exécuter les gens ? Ceux disposés à la réforme par le travail devraient allez se réformer par le travail, afin que les ordures soient transformées en quelque chose d'utile. D'ailleurs, les têtes ne sont pas comme des poireaux. Si on les coupe, elles ne repoussent pas. Si l'on coupe une tête à tort, il n'y a pas de façon de rectifier l'erreur même si l'on veut. » (9) Si des gens s'appellant maoïstes ne s'ont pas acquitté de cette philosophie, le MIM ne les défend pas. Le MIM sait néanmoins bel et bien, et les statistiques sont disponibles pour tous même aux États-Unis, que Mao a accompli le plus de tout chef politique du siècle et probablement de toute l'histoire en réduisant la violence en toutes ses formes.

Même beaucoup des ennemis de Mao qui ont été purgés (expulsés) du parti ont survécu. Deng Xiaoping, chef actuel de la Chine [il est mort en 1997--mc5], a survécu la purgation comme le révisionniste du deuxième rang et a été envoyé au camp de rééducation. Les 3-4 juin, 1989, Deng a ordonné à l'armée de tirer sur des centaines de manifestants dans la rébellion à Beijing. Cette violence n'est bien sûr qu'une partie petite de la violence causée par la restauration du capitalisme en Chine.

Mao et le Parti communiste chinois, avec peu d'aide de l'extérieur, ont amené des changements majeurs dans un pays en voie de développement pendant qu'ils faisaient une révolution et une guerre civile. Il est erroné de tenir pour responsable le Parti communiste chinois, ou en particulier Mao, un individu, de tout ce qui s'est passé sous leur direction. Aux États-Unis, un pays développé qui ne fonctionne pas dans des conditions d'aucune façon pareilles à celles de la République populaire de Chine (1949-1976), chaque année il y a 20 000 meurtres, 75 000 morts de Noirs à cause de l'oppression nationale systématique, la mort d'un ouvrier de causes liées au travail toutes les cinq minutes et la mort d'un enfant toutes les 50 minutes à cause du manque de nourriture ou d'argent. (10) Mais nous n'entendons dire presque jamais que les victimes de la violence capitaliste sont « tuées » par les présidents Reagan, Bush, Clinton et cætera, comme nous l'entendons dire souvent des morts de faim sous Mao.

Les intellectuels et l'éducation étaient répressés sous Mao

Beaucoup d'Occidentaux croient que Mao s'opposait à la « vraie » éducation et aux « intellectuels » pendant la Révolution culturelle et que les écoles étaient des instruments pour le « lavage de cerveau » et la « propagande ». Ces croyances-ci viennent d'histoires de la fermeture d'universités en Chine, des nouvelles conditions et nouveaux règlements pour les manuels et les recherches et des nouvelles limites sur les types d'art et de théâtre encouragés ou permis. Une partie de ces renseignements a été apportée aux Occidentaux par des intellectuels chinois qui ont quitté la Chine avant ou pendant la Révolution culturelle : ils ont quitté car ils croyaient que leur mode de vie et leur standing étaient menacés par ces changements.

Les Occidentaux définissent la « vraie » éducation comme celle qui ressemble aux sujets et aux ordres du jour occidentaux ; i.e., l'étudier l'histoire et la littérature à partir du point de vue des oppresseurs et des impérialistes, les mathématiques et la science avec le but de recherches visés à des avances technologiques ou médicales qui augmentent la richesse et le pouvoir des classes dirigeantes et étudier jusqu'à l'expertise et le prestige académique mais sans mettre l'accent sur l'expérience pratique ou l'utilité pour la communauté.

Les Occidentaux perçoivent l'éducation chinoise sous Mao comme de la « propagande » parce qu'elle encourageait des valeurs et des buts qui contredisent les buts du capitalisme. Ces valeurs et buts enseignés en Chine pendant la Révolution culturelle correspondaient à la construction du socialisme. L'éducation aux nations occidentales n'est pas perçue comme de la « propagande » par ceux qui, consciemment ou non, s'ont d'accord avec les buts du capitalisme/impérialisme et du patriarcat. Également, la publicité pour les produits capitalistes, bien que reconnue comme très influente sur les opinions et les actions des gens, n'est pas perçue comme du « lavage de cerveau » par ceux qui profitent du capitalisme et qui donc ont décidé de la supporter.

Les perceptions occidentales des attitudes maoïstes envers l'éducation, les intellectuels et l'art sont fondées en grande partie sur des renseignements des Chinois qui ont rejeté le socialisme ou d'étrangers qui ont examiné les événements en Chine d'un point de vue extérieur. Vous pouvez gagner une image plus réaliste de la révolution d'éducation en Chine en lisant des livres par des auteurs qui soutiennent ce qui est le mieux pour la plupart du peuple et qui participaient profondément aux changements de l'ère. Par exemple, Hundred Day War: The Cultural Revolution at Tsinghua University de William Hinton explique comment la socialisme s'est développé et comment les vieilles idées oppressives sur l'éducation ont été démantelées dans un institut célèbre de science et d'ingénierie :

« Maintenant les étudiants passent autant de temps aux usines et sur les sites de construction au Grand Pékin qu'ils passent aux salles de classe et aux laboratoires, et les professeurs consacrent autant d'énergie au développement de liaisons avec les dizaines d'usines et d'entreprises auxquelles l'université est liée qu'ils consacrent à faire des conférences et à conseiller les étudiants. Des jeunes gens et jeunes femmes privilégiés ne retireront plus au pays de merveilles bordé d'arbres qui s'appelle Tsinghua pour y passer le temps à lire jusqu'à ce qu'ils soient trop âgés pour pouvoir rire. Ils ne se farciront plus la tête de formules mathématiques concernant les pratiques industrielles désuètes de l'Europe et l'Amérique d'avant-guerre, ne sueront plus sur les examens genre « attaque surprise » pour sortir, après des années d'isolation de la production et la participation politique, incapables de distinguer l'acier à haut degré de carbone et l'acier ordinaire ou un "révolutionnaire prolétarien" et un "révisionniste".

« À l'école primaire on est mortellement sérieux de lire des livres.
« À l'école secondaire on lit les livres morts sérieusement.
« À l'université on lit sérieusement les livres jusqu'à la mort ! » (11)

Avant sa mort, Mao a dit qu'il voulait qu'on se souvienne seulement comme « enseignant ». Mao ne s'opposait pas à l'éducation. Il s'opposait à l'éducation de style occidental à cause de sa fonction dans la création et la justification de classes intéressées qui ne servent pas forcément le public. Au contraire, l'éducation et les intellectuels ne devraient servir que le public, et pour supporter cette doctrine-ci, Mao a ordonné aux intellectuels d'aller vivre avec les paysans pour aider les paysans, pour éduquer les paysans et pour se faire éduquer par les paysans.

La plupart de la population chinoise était pauvre et analphabète et n'avait que très peu d'accès aux besoins fondamentaux, à l'éducation ou au soins médicaux. Quant à l'éducation médicale, Mao a dit en 1965 : « L'éducation médicale devrait être réformée. Il n'y a pas de besoin de lire tant de livres... Il suffira de donner trois ans [de formation] aux diplômés des écoles primaires. À la suite ils feraient des études et élèveraient leurs standards en grande partie dans la pratique. Si ce type de médecin est envoyé au paysage, même s'il n'a pas de grands dons, il servira mieux que les charlatans et les sorciers et les villages pourront mieux se permettre de le garder... la formation [actuelle] des médecins ne sert que les grandes villes. Pourtant en Chine plus de 500 millions de notre population est paysanne. » (12)

Et en fait, l'un des programmes socialistes développés était les aides-soignants [NDT : « médecins aux pieds nus » en chinois et en anglais], qui étaient des paysans formés pour quelques mois dans les soins fondamentaux et qui puis travaillaient dans leurs villages pour prévenir les maladies et les blessures, pour améliorer l'hygiène publique et pour traiter des problèmes médicaux ordinaires. (13)

Le texte suivant est l'ordre publié par le Comité central du Parti communiste chinois (PCC) au début de la Révolution culturelle en 1966 :

« En ce qui est des scientifiques, des techniciens et des autres membres ordinaires des équipes de travail, tant qu'ils seront patriotes, travailleront avec énergie, ne s'opposeront au parti et au socialisme et ne maintiendront aucune relation illégale avec aucun pays étranger, pendant le mouvement présent nous devrions continuer à appliquer la politique d'"unité, critique, unité". » (14)

Le système d'éducation en Chine a été vastement amélioré. Des anciens manuels capitalistes ont été mis à côté et des nouveaux manuels ont été utilisés pour l'instruction de l'histoire et la politique d'un point de vue de la majorité du peuple. Par exemple, Fundamentals of Political Economy: A Popular Introductory Marxist Economics Text[c.-à-d. Fondamentaux de l'économie politique : un manuel élémentaire de l'économie marxiste pour le peuple] est publié en 1974 (Presse populaire de Shanghai) et étudié par les écoliers. En plus, le taux d'analphabétisme en Chine a baissé de manière remarquable.

Malgré ces améliorations majeures, pas toutes les réformes d'éducation étaient correctes. Il y avait des soi-disants « maoïstes » qui préconisaient des attaques contre tous les intellectuels et 95 % des membres du Parti communiste pendant la Révolution culturelle. Mao a nommé ces gens « ultragauchistes » parce qu'ils utilisaient le langage et les idées socialistes pour justifier des actions extrêmes sans essayer de disputer avec ces intellectuels et les encourager à s'amender. (15)

Notes :

1. Roderick MacFarquhar, spécialiste bourgeois célèbre sur la Chine, dit que de 16,4 millions à 29,5 millions sont morts. Origins of the Cultural Revolution: Great Leap Forward 1958-60 (New York : Columbia University Press, 1983), p. 330.

2. Wheelwright, E.L. & McFarlane, Bruce. The Chinese Road to Socialism: Economics of the Cultural Revolution (New York: Monthly Review Press, 1970), p. 35.

3. Ibid, p. 53.

4. « Qui avons-nous exécuté ? Quel type de gens ? Les élements qui étaient énormément détestés par les masses et qui étaient criblés de dettes de sang. » (Chairman Mao Talks to the People, New York : Pantheon Books, 1974), p. 77. Mao a dit aussi que moins d'éxecutions seraient faites à l'avenir. (Ibid., 78)

5. Selon Ruth Sivard, le chiffre pour le monde entier est 14 000 000 par an. La grand plupart passent aux pays capitalistes d'Asie. World Military and Social Expenditures 1987-8, p. 25.

6. Dans la comparaison des populations Noire et blanche du même âge aux États-Unis, le taux de mortalité des Noirs était 7,8 par mille en 1986 et 5,2 pour les blancs. (Statistical Abstract of the United States 1989, p. 74) Il y avait 29,223 millions de Noirs en 1986. (Ibid.)

7. Associated Press dans Ann Arbor News, 10/1/89, b9.

8. Comité central du Parti communiste chinois, 8/8/66 dans People's China: Social Experimentation, Politics, Entry onto the World Scene 1966 through 1972 (New York : Vintage Books, 1974), p. 277.

9. Chairman Mao Talks to the People, p. 78.

10. Vincente Navarro, "Historical Triumph: Capitalism or Socialism?"Monthly Review, novembre, 1989, p. 49-50.

11. Hinton, William. Hundred Day War: The Cultural Revolution at Tsinghua University (Monthly Review Press, New York et Londres, 1972), p. 13-14

12. "Directive on Public Health, June 26, 1965" Chairman Mao Talks to the People: Talks and Letters: 1956-1971, éditeur Stuart Schram, Pantheon Books, 1974, p. 232.

13. Le programme d'aides-soignants a commencé aux années 1950 et a grandi jusqu'au milieu des années 1970. Ils utilisaient le manuel paramédical officiel chinois A Barefoot Doctor's Manual, Running Press, 1977.

14. Comité central du PCC, 8/8/66, in Chairman Mao Talks to the People, p. 281

15. Pour lire des exemples d'essais par des ultragauchistes opposés au maoïsme, voir the 70s, China: The Revolution Is Dead, Long live the Revolution, Montréal : Black Rose Books, 1977 [NB : Nous vous demandons d'excuser les nombreuses coquilles et fautes de grammaire dans les versions antérieures de cet article. Heureusement, il n'y a pas eu d'erreurs de contenu. Utilisez, s'il vous plaît, cette version-ci. MC5]