Maoist Internationalist Movement

3. Staline sur les nations opprimantes

Tous qui se présentent comme des communistes doivent connaître, bon gré ou non, que Staline personnellement s'intervenait pour assurer la création d'une théorie d'une "ceinture noire" pour refèrer à la nation africaine à l'intérieure des Etat$ Uni$. Malheureusement, souvent des camarades internationaux ne savent pas que c'est ce même Staline qui a donné une ordre au CPUSA de parler de la "classe blanche travailleure" pour illuminer la question du "chauvinisme blanc". Certains Ersatz-Maoistes  dans le "Marxism List" sur l'internet ont même de la culotte pour se moquer du MIM et sa langage - qui est nonobstat la parôle même du Staline !  Les enseignements du Staline sont si mort pour ces vrai-faux communistes que, comme les trotskyites, ils pensent que MIM a inventé ce concept [de la classe travailleure blanche] afin de sucer le queue du nationalisme bourgeois exprimé par des types comme Farrakhan.

Déjà lointemps, Harry Haywood lui même avait expliqué l'idée du Lénine et du Staline que la surprofite est le base matérielle des contradictions nationales.(44) En ce même optique, il avait refuté -- déjà --  l'idée que la nation africaine aux U$A ne sont pas une nation, car ils manquent une lange propre à eux. Selon Staline, dans son essai fameux sur la question nationale, il devrait y avoir une langue commune, mais cette langue commune ne devrait pas être employé uniquement par la nation. (45) Sinon, la France et le Côte d'Ivoire sera considéré comme une seule nation.

Par de même, et au même temps, Haywood disait qu'il n'y avait pas une classe bourgeoise industrielle au sein du nation black. Mais Stalin avait déjà refuté l'idée qu'il devrait y avoir une bourgeoisie nationale progressive pour faire de la libération nationale. De fait, dans l'article du Stalin sur cette question, Stalin disait que c'était l'opprime du "masse élémentaire" qui définait la question nationale. Il le distingué même de l'opprime des paysans, ce qu'il a vu comme la question nationale préeminente en ce temps là.

S'il n'existe plus de question nationale black aujourd'hui, cela n'est pas pour les raisons données par ceux qui criticisent le MIM. Il sera plutôt pour la raison que les Panthères Noirs eux même a proposer de temps en temps: peut être que le peuple de la nation noir sont eux même aussi payé par l'impérialisme pour se taire ! Pour cette raison, les Panthères noirs, et plus particulièrement Eldridge Cleaver, se demandé
 si la seule classe avec de la potentielle révolutionnaire à l'intérieur des frontières de l'U$A était  le sous-prolétariat.

Aujourd'hui nous voyons au niveau politique que les impérialistes font encore de la question de nation comme excuse pour des tirâdes xenophobes -- destiné à inciter de la phrénèsie pro-impérialiste. Des attaques contre les immigrés, contres les langues autre que la lange du métropole, la manipulation de la rhétorique et politique du crime et l'Etat providence sont seulement saisisable comme des instances de l'opprime nationale. Par ces moyens, les impérialistes espèrent de gagner du soutien pour leur plan contre le tiers monde. En ce sens, même si les colonies internes sont devenus des partenaires dans l'exploitation du tiers monde, ils vont continuer de servir comme des symboles de ce dont les impérialistes et l'aristocratie du travail s'unifient pour opposer.  MALCOLM X  faisait une analogie apte pour expliquer ce type du cannibalisme des ouvrières du tiers monde par les ouvrières du premier monde: les esclavés agricoles contre les aides domestiques - les aides domestiques, comme l'aristocratie du travail, sont toujours loyaux à le maître. Les citoyens des pays impérialistes, y compris les noirs, puissent être l'équivalent contemporaine aux aides domestiques. Mais sur l'autre côté, les Panthères ont démontré qu'il reste encore possible de mobilizer une pluralité de la nation black pour faire de la révolution.

Pour les contemoporains du Staline, la ligne officielle communiste était de donner des critiques très acèrbiques contre ceux qui s'opposer aux théories nationale - à la différence des théories nationales. Dans une sous-section intitulé "Comment les 'théoriciens' communistes du Race ont transformé du Lénine envers un libéral bourgeois", Haywood disait,

"c'est clair que de ce qui procèdait que les erreurs de ceux qui propose des théories communistes du race sont inextricablement liée à ceux qui se manifestent finalement comme n'étant rien d'autre que des méthodes anti-marxiste et libéraux à la question nationale en générale."(46)

Parmi ceux les critiques la plus paresses et confuses contre le MIM(47) se trouve souvent l'erreur de croire que MIM se livre aux théories raciales -- ce qui n'est nullement vrai. Leur confusion provient peut être du fait que nous utilisons la langage du Staline pour criticiser la tendance de la classe ouvrière blanche d'être acheté par les impérialistes !   La catégorie raciale restent toujours important dans notre analyse, mais il est sécondaire à la catégorie de la nation. Si la catégorie de race était primordiale dans notre analyse, nous n'aurions pas pouvoir réconnaître que les travailleurs en Albanie et Russie sont encore dans nos jours vraiment exploités -- à la différence du plupart  blancs dans les pays impérialistes. Une analyse qui donnera plus de poids au race qu'à nation n'aurait pas pouvoir non plus expliquer pour comment et pourquoi les impérialistes sont en train d'achéter la classe prolétariat dans les six comtés occupés en Ireland du Nord. De fait c'est nos critiques qui se sont livré aux explications raciales, car c'est eux qui pensent que le socialisme implique nécessairement l'intégration raciale. Ils adoptent cette position là parce que -- selon eux -- l'opprime historique n'était pas national mais racial. Mais pour nous qui voyons la question de l'opprime national comme étant à priori à l'opprime raciale croyons d'aborde dans la libération nationale, là ou nos critiques parle d'un primauté de l'opprime raciale et une lutte de l'intégration.

Bien qu'en générale la parole de Haywood reste encore correcte aujourd'hui il reste néanmoins deux points qui doivent être soulignés: D'aborde la rôle des paysans est totalement disparu. Il n'existe plus de paysannerie noir. (48) Néanmoins, les travailleurs bourgeoisifié, déjà discutée en ce temps là, sont augmenté. Ils font de la résistance active contre les droits civils des nations opprimés [i.e. les colonies internes]  et ainsi se moquent de l'idée d'une nation véritablement integré. En même temps, bien qu'il cité Staline et faisait du travail correct lui même, Earl Browder disait "Il est correcte de parler de l'aristocratie du travail comme le vecteur particulièr du chauvinisme blanc parmi lestravailleurs, car cette aristocratie à un intérêt particulière dans la subjugation du Noir"(49) Browder continuait d'expliquer que, à cause de la fausse-conscience des blancs, même des travailleurs normaux adoptait du chauvinisme. Aujourd'hui la rôle de l'aristocratie du travaille a calcifié. Ainsi les surprofites comme incitation et l'aristocratie du travaille jouent une rôle plus grande dans la question nationale par rapport à un démi siècle. Comme nous montrons en MT10, il y avait ceux dans le COMINTERN qui croyait déjà la position contemporain du MIM: que Le prolétariat, dans sa majorité, a été acheté par les impérialistes pour se taire. Même déjà un démi-siècle, la question était bien défini avec de la précision par une analys scientifique marxiste. MIM ne fait rien d'autre que d'appliquer ces définitions et théories à nos jour-ci. Si Harry Haywood et le tôt Earl Browder ont appliqué les définitions qu'ils formulaient en ce temps là, a nos jours ci, ils feraient le même conclusion que MIM -- car la méthode et définitions sont objectives et pareil, bien que les conditions sont subjectives et se changent avec le temps.

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